Quand les nymphes dorment à l’ombre d’Artémis, D’une sécurité intérieur grandement illustratrice, Voguent au vent, non loin, les satyres fourbes, Lorgnant avec envie ces protégés de la foudre. Ces amoureuses des Dieux, des mortels et des héros, Ces divines créatures, ces affectueuses , ces accortes, Dorment sans angoisse, protégées par leur nature, Au nom d’Apollon, de Démétér et de Dionysos.